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Gastronomie Sri Lanka

Alex&Alice — Sun, 03 May 2015 18:20:15 +0000

De loin le plat national, le “Rice & Curry” s’impose sur les cartes de tous les restaurants du Sri Lanka (que le restaurant soit chinois, thai etc.). Il fut une plutôt bonne surprise comparé au curry Birman qui n’était pas forcement une réussite. Il est toujours à base de poulet, beouf ou poisson. Les accompagnements par contre varient: salades d’herbes à la coco, purée de pois chiches, aubergines épicées, feuilles de cocotier a la banane, le tout avec beaucoup d’ail et d’oignons. La plupart des hôtels et restaurant le propose en buffet le midi. Contrairement au curry Indien, celui ci est très peu épicé et plutôt doux (Alexis en aura mangé sans trop de dommages collatéraux plus tard).

Une autre découverte fut le lamprai, plat servis cuit pendant plusieurs heures dans une feuille de bananier, contenant du riz, de la viande et des légumes marines, plutôt bon.

Comme dans les autres pays d’Asie, il propose également beaucoup de riz frit avec de la viande, des légumes et des oeufs dedans. Il y aura aussi le Buriyani, qui est un riz épicé et cuit avec différents épices, accompagné de poulet, de mouton et d’un œuf dur.

Sur la cote nous nous sommes jetés sur les poissons grilles. Nos 3 jours à Marissa nous ont permis de nous régaler avec des calamars grilles à l’ail, des red snappers, crevettes, thon,… un vrai délice. Tous sont souvent justes grillés au barbecue et accompagné d’une sauce à l’ail.

Coté fruit, la meilleure surprise aura été les excellent ananas, les meilleurs surement que nous ayons mangé de tout notre tour du monde et avec encore une fois, beaucoup de pastèque, papaye, melons… A notre grand regret nous avons loupe la saison des mangues.

Niveau dessert et bien ce n’est toujours pas ca… le seul et unique dessert que l’on retrouve partout sera la banane fris ou grillée, ou servis en pancake, le tout toujours accompagné de miel ou chocolat. Pas mauvais mais un peu lassant et pas très diététique.

Du coté des boissons, la boisson nationale est évidemment le thé, le pays est le 3e exportateur mondial. Nous avons gouté une nouvelle bière, la Lions, qui ressemble aux nombreuses bières des autres pays, légère, sans beaucoup de gout, mais très rafraissante par la chaleur accablante. Les sri lankais ont aussi leur alcool fort, notamment l’arrack, alcool local qui provient de la distillation du nectar extrait des fleurs de cocotier, qui aura un gout qui se rapproche du rhum, nous l’aurons goute mélangé au coca (Arrack attack – et oui comme son nom l’indique, il attaque bien).

Evidemment sinon, nous avons bu des noix de coco fraiches sur le bord de la route.

Gastronomie Birmanie

Alex&Alice — Sat, 25 Apr 2015 12:40:10 +0000

Nous n’avions aucune attente en arrivant dans ce pays d’un point de vue culinaire. Comme la cuisine birmane est inconnue dans le reste du monde, nous ne savions vraiment pas ce que nous allions trouver. La cuisine birmane est très fortement influencée par ses grands voisins qui sont la Chine et la Thaïlande. Ainsi dans la plupart des restaurants où nous avons déjeuné ou diné les 3 cuisines cohabitent en parfaite harmonie. Dans les restaurants touristiques les cuisines chinoises et thaïlandaise ont pris le dessus!

Le plat national de Birmanie serait le curry birman. Nous en avons mangé dans un restaurant local et les ressentis sont plutôt mitigés. Le plat se compose de riz et de viande avec une sauce curry. En plus de cela il y a une multitude de petits plats pour agrémenter le fameux curry. Nous ne savons pas vraiment ce qu’il y avait dans ces plats en raison d’un problème de traduction entre le cuisinier, le chauffeur et nous. Le repas birman « type » se compose d’un curry, accompagné de riz, d’un bouillon et d’une multitude de petits plats, notamment de légumes. On apporte tout en même temps sur la table et on se sert de ce qu’on veut dans une assiette à part. C’est le fameux « buffet birman » proposé dans nombre de petits restos. Les currys sont toujours préparés avec de l’ail, du gingembre, des oignons, du curcuma, beaucoup d’huile et souvent aussi une substance omniprésente dans la cuisine birmane : une sorte de pâte assez salée, au goût fort, de poisson ou de crevette. D’autres plats qu’on trouve dans tous les restos birmans : les nouilles sautées et le riz frit, généralement les plats les plus nourrissants et les moins chers.

Il y a de très nombreux bouibouis dans les rues mais nous ne les avons pas vraiment tenté. Plus nous avançons dans le tour du monde moins nous sommes enclin à manger sur le bord d’une route. Il semblerait que l’oeuf couvé que nous avons mangé aux Philippines est eu des répercutions culinaires sur la suite de notre voyage!!

Nous avons fréquenté bien d’autres restaurants ayant leur propre spécialités. Au lac Inle nous avons diné deux fois dans un restaurant spécialisé dans les Dim Sum (grande découverte pour certain). Le Dim Sum est un ravioli chinois cuit à la vapeur (nous vous en avons déjà parlé dans Gastronomie Hong Kong). Nous en avons mangé une multitude mais la palme revient à celui au canard (Dim Sum tri avec une sauce inconnue mais à tomber par terre). Le “crispy duck with pancackes” était aussi très bon. Nous avons même tenté le vin birman!!! Mais quelle surprise d’avoir un vin plutôt bon dans un coin reculé de la Birmanie. Nous avons essayé le Sauvigon Blanc ainsi qu’un Syrah. Vin très diffèrent de ceux que nous avons pu gouter précédemment ce qui fut un peu déroutant pour les palets Saint-Romain. Nous avons fait d’autres restaurants chinois qui étaient tout aussi bon.

Comme nous vous l’indiquions précédemment la cuisine thaïlandaise est aussi très présente. Alexis a une petite passion pour le green curry avec une sauce à la mois de coco (même si c’est un peu spicy…). Les plats à base de noix sont vraiment très bons et des que nous pouvons en commandé nous le faisons, cela nous rappelle à chaque fois les Fijis. Nous avons mangé bien d’autres plats comme le pad thai, les brochettes de poulet sauce cachettes ou bien des rolls. Nous sommes des grands fans de la gastronomie thaïlandaise à partir du moment ou ce n’est pas trop épicé pour Alexis.

Peu importe le type de restaurant, vous pouvez trouver une multitude de salades diverses. Celles que nous avons le plus commandé fut la salade de tomates birmanes (elles provenaient du lac Inle). Sa composition était tout de même très différente selon celui qui commandait. Sans ail avec pas trop d’oignons pour Papa ; avec de l’ail, des cacahuètes et des oignons pour Alice et ainsi de suite. La plupart du temps les plats changent de main pour le plus grand bonheur d’Alice qui peut gouter à tous les plats…

Comme dans la plupart des pays asiatiques, les desserts ne sont pas une spécialités. La plupart du temps ils ne vous proposent seulement qu’une salade de fruits. Dans certains restaurants nous avons mangé des bananes ou ananas fris avec de la glace, c’est vraiment très bon!!!!

Le pays possède de nombreuses plantations de fruits divers, bananes, ananas, papayes ou bien pastèques. Ils sont d’une très bonne qualité et ils font d’excellents jus que nous avons consommé sans modération.

Gastronomie Philippines

Alex&Alice — Sat, 11 Apr 2015 15:47:21 +0000

Nous étions un peu effrayé de ce que nous allions trouver dans ce pays. En effet dans la plupart des guides et forums nous n’avions lu que des horreurs, c’est trop gras, il y a trop de riz, ils mettent du sucre partout, il n’y a pas de poissons etc. Nous sommes donc partis sans aucune attente d’un point de vue culinaire. Notre courte visite à Manille nous a permis de confirmer cela, la nourriture n’est pas terrible. Mais nous avons été plus que surpris dans les autres régions des Philippines. Bon, il est vrai qu’il y a du riz à tous les repas mais il est plutôt bien cuisiné.

Nous avons pu gouter à plusieurs plats typiques et ils sont plutôt bon. Le poulet adobo est un grand classique nous pourrions peut être dire le plat national. Comme le nom l’indique c’est du poulet mariné avec une sauce a base d’oignons, ail, vinaigre et sauce soja, accompagné de riz. Alexis en a fait son plat du séjour avec quelques petites encartages quand il y avait du poisson. La sauce adobo peut se décliner avec du porc, du boeuf, du poisson, surement avec du chien (les Philippins mangent tout ce qui bouge) etc. Nous avons aussi gouté les crevettes à la sauce Sprite, une vraie tuerie. Le Sprite va caraméliser les crevettes, l’ail leur donner un petit gout épicer et la poudre secrète relève le tout (nous avons ramené plein de sachets donc nous vous invitons à venir les gouter!!).

Vous pouvez aussi trouver énormément de plats avec du curry (jaune ou vert), ce n’est pas vraiment philippins mais c’est tout de même très bon. C’est juste ce qu’il faut d’un point de vue “spicy” (parfois un peu trop pour Alexis: estomac un peu fragile).

Nous avons bien entendu mangé énormément de poissons grilles au feu de bois, ils sont bien frais (bien plus frais que ceux de Ordralfabétix) et nous avons pu gouter des poissons peu commun comme le poisson perroquet (il a le gout du crabe) ou bien le poisson corne (super gras mais très bon). Ils sont la plupart du temps farcis avec de petits légumes ou des agrumes. Le prix est assez peu élevé (7 euros le gros poisson) mais tout de même plus cher que les autres plats typiques (poulet adobo autour de 4 euros).

Il y a très peu de légumes ou de fruits aux Philippines donc vous en trouver que très rarement dans les marchés ou bien au restaurant. Il y’a tout de même des bananes et des mangues. En fait les Philippines sont très reconnues pour leur mangues et ils les exportent un peu partout dans le monde. Nous avons découvert les mangues séchées juste trop bon!!!

Nous avons goute quelques desserts locaux et ils ont encore quelques progrès à faire par rapport aux standards que nous connaissons. Les gâteaux sont souvent à base de riz avec du sucre et 2/3 fruits qui se courent après. C’est pas terrible mais au moins nous avons gouté.

Le dernier plat typique que nous avons gouté fut l’oeuf de cane couvé. En dehors de l’aspect super degueu c’est pas mauvais, cela a le gout d’oeuf et de poulet. Parfois cela croque sous la dent mais les quelques plumes qu’il y a amortissent le choc… Les Philippins en raffolent, les Français un peu moins! Alexis a fini le sien mais fut malade les 40 heures d’après, était ce une si bonne idée???

Cote dessert, rien de grandiose au grand grand désespoir d’Alice. Le seul et unique désert philippin est une grande coupe remplie de fruits en conserve, mais, noix de coco, crème glacée, et crème caramel. Lourd et écoeurant!

Comme dans tous le sprays du monde que nous avons pu visité il y a bien entendu des bières locales. Aux Philippines, elles s’appellent la San Miguel (4% plutôt légère, soeur jumelle de celle que vous trouvez en Espagne) et la Red Horse (7.5% elle a son petit caractère, aucun lien de parenté connu). Elles coutent environ 1 euro chacune ce qui les redirent très attrayantes!! Vous pouvez trouver quelques whiskies européen mais le pays est très connu pour distiller lui même ses propres alcools fort. Ainsi il est possible de trouver, du gin, du rhum, du brandy tous Made in Philippines. Nous avions lu que ces alcools se rapprochaient plus débouche toilette que de l’alcool mais bon comme il ne faut pas mourir idiot nous avons gouté au brandy. Et bien c’tait pas mauvais du tout! Cet alcool a une très grande dose de sucre ce qui doit couvrir son horrible gout mais c’est tout de même buvable.

Gastronomie Argentine

Alex&Alice — Fri, 09 Jan 2015 07:35:38 +0000

Nous sommes arrivés en Argentine avec beaucoup d’espoir question gastronomie en raison du manque de bons petits plats que nous avions pu déguster en Bolivie. Nos espoirs furent exaucés voire même au delà des attentes!!

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Le nord de l’Argentine propose une cuisine à forte influence andine. Vous trouverez beaucoup de plats à base de maïs, de galettes fourrées de viandes, feuilles de coca etc. Nous avons mangé un certain nombre de “tamales” (pâte de maïs fourrées de viandes de boeuf ou de poisson), les fameuses “empanadas” (galettes fourrées aux légumes ou à la viande) ou bien des “humitas” (pâte de maïs avec des oignons, du fromage et de la crème cuite dans une feuille de maïs). Ces plats sont très simples mais plutôt bons et surtout pas chers. Cela vous coutera un peu moins de 5$ pour avoir un repas assez copieux. Il y a plusieurs bières locales que vous trouverez un peu partout dans le reste de l’Argentine, la Salta et la Quilmes. Ces bières sont très légères et désaltérantes (à boire avec modération!).

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Plus vous descendez au sud de l’Argentine plus la culture gaucho se fait sentir. Nous allons faire un petit raccourci, la culture gaucho c’est l’amour de la grosse viande. Il ne faut pas être végétarien dans ce pays tellement la viande est un pilier de l’alimentation. La viande argentine est mondialement connue et sa réputation n’est plus à faire. Le meilleur morceau de viande coutait un peu moins de 10$ le kilo au supermarché (bife de lomo ou bife de chorizo). Vous comprendrez pourquoi nous en avons fait quelques excès… Nous avons pu tester le fameux barbecue argentin (ascado) et c’était vraiment très bon. Les morceaux servis étaient très divers, des saucisses, des côtelettes et du steak le tout arrosé d’un petit vin local produit par des moines. Nous n’avons pas fait de restaurant à viande mais on nous a rapporté que les quantités sont juste astronomiques, le petit steak fait 500 grammes et il est accompagné de frites (pas de légumes ou juste pour la déco). Seul petit bémol, les Argentins aiment leur viande bien cuite alors que nous raffolons des viandes à peine cuite.

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Une bonne viande ne pourrait pas divulguer toute sa saveur sans un bon vin. Nous avons donc été obligé de visiter un certain nombre de vignobles pour pouvoir apprécier la viande argentine. La région de Mendoza est le premier producteur de vin d’Argentine suivit de la région de Calafate. Nous avons donc visité les deux pour être sur de ne pas passer à coté. Calafate est très connu pour son vin blanc (torrents: vin très sucré idéal en apéritif ou en dessert), Mendoza est très connu pour son vin rouge, le Malbec (vin puissant á la robe très rouge, nous ne connaissions pas se cépage et c’est une excellente découverte).

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Les Argentins n’ont pas une culture du dessert mais ils font tout de même quelques très bonnes douceurs. Les glaces de Bariloche étaient une très grande surprise, nous en salivons encore dés que nous en parlons! Ils en mangent en grande quantité et à toute heure. Nous avons aussi testé quelques desserts tels que les “alfajores” gâteaux recouvert de noix de cocos fourrés au dulce de lèche ou de confiture, c’est assez bon mais trop sec à notre gout. Ils font aussi beaucoup de viennoiseries du type croissant mais elles sont toutes recouvertes de sucre ce qui est un peu dommage. Nous en parlions précédemment le dulce de lèche est le Nutella national! C’est une confiture de lait (très enquérante si vous en mangez trop,Mais on a quand meme acheté pour les petits déjeuners Néo Zelandais!). Il y a très peu de fruits en Argentine contrairement à ses voisins limitrophes. Nous avons pu mangé de très bonnes cerises en Patagonie mais le reste n’est pas d’un très grand intérêt.

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La cuisine argentine fut fortement influencé par la cuisine italienne. Vous trouverez de nombreux restaurants proposant des pates, pizzas ou gnocchis fait maison. Cuisine italienne oblige, les fromages argentins sont des pâtes cuites ou durs. Il est difficile voire impossible de trouver un petit fromage au fumet un peu fort, c’est très dommage ils sont nos préférés!

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Tous les Argentins boivent à longeur de journée une sorte de thé qui s’appelle le “maté”. Il se boit dans une calebasse avec une paille en aluminium. Nous en avons pas gouté mais d’après les souvenirs d’Alexis c’est très amer et pas bon.

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Gastronomie Bolivie

Alex&Alice — Tue, 02 Dec 2014 23:56:15 +0000

Nous n’avons pas du tout été impressionné par la gastronomie de ce pays. Le meilleur plat que nous avons mangé est de loin fut la truite grillée sur les bords du lac Titikaka, cela nous a couté seulement 25 Bob (par truite) donc environ 4$. Nous avons tellement aimé cela que nous avons mangé 2 fois de suite dans ce boui-boui de plage!

Les restaurants que nous avons fait à La Paz étaient touristique, la nourriture est médiocre et les prix exorbitants. Nous avons tenté de manger aux marchés mais la qualité n’était pas du tout au rendez vous. De plus, les conditions sanitaires ne sont pas terribles, nous n’avons pas voulu tenté le diable!!

Tous les plats en Bolivie sont à base de pomme de terre, légume national, souvent servis en frites avec du riz et toujours accompagnés d’une viande: boeuf, poulet ou porc. La spécialité des restaurants locaux et du marché est le “chicharon”, morceau de porc frit et grillé. Le boeuf est souvent servi en “pique macho” – c’est a dire un steak piquant accompagné d’oignons. Nous avons essayé, le boeuf avait un gout de paillasson.

Comme au Perou, tous les diners sont accompagnés d’une soupe en entrée, souvent de légumes, crème et régulièrement avec des pâtes, quinoa ou de viande. Leur soupe sont plutôt bonnes et très agréables après une journée en altitude dans le froid.

Une tradition de la Bolivie est le “saltenas” que tous les locaux dévorent tous les matins entre 9h et 13h en snack dans la rue ou dans les bouis-bouis. Les saltenas sont des versions boliviennes de l’empanadas, chausson fourré à la viande, oignons, légumes etc.. Nous en avons mangé régulièrement, certains sont fait dans des pains légèrement brioches et étaient vraiment très bons!

Les meilleurs repas que nous ayons mangé (en dehors de la truite du lac Titikaka) furent ceux préparés pendant nos excursions (Uyuna Potosi ou Salar de Uyuni). Nous n’avons pas eu des repas de roi mais seulement des soupes et des pâtes, du poulet mais c’était tellement meilleur que les plats que nous mangions aux restaurants.

Nous avons tente le vin bolivien et c’est pas encore gagne du moins avec la bouteille que nous avons essaye, c’était un rouge de la région de Tupiza. Il avait le gout de cassis en fait nous ne savions pas vraiment si c’était du vin ou une liqueur de cassis!! Il y a de nombreuses bières en Bolivie, chauque ville importante a souvent sa bière, elles sont assez légères et plutôt bonnes dans l’ensemble. Nous avons eu un petit coup de coeur pour la Potosina, a Potosi. Les prix varient sensiblement selon les régions et villes, la bouteille de 1 litre coutait environ 25 Bob (4$).

Les Boliviens comme les Péruviens sont fans des desserts en gélatine, vous trouvez à tous les coins de rues des vendeurs de ces fameux desserts. Pour ne pas mourir idiot nous en avons gouté une fois et bien c’est pas bon!! Heureusement nous nous sommes rattrapes sur les salades de fruits et les jus frais, c’est toujours un délice et vraiment pas cher du tout.

Au final, la Bolivie est un pays magnifique, avec des paysages a couper le souffle mais la nourriture reste sans saveur, très grasse et pas très variée. Certains plats très simples sont très bons mais nous n’avons pas vraiment été impressionne par cette cuisine.

Nous attendons donc avec impatience l’Argentine pour nous rattraper sur les plats de viandes et plats un peu plus elabores.

Gastronomie Perou

Alex&Alice — Sun, 16 Nov 2014 00:42:24 +0000

Le Pérou possède une gastronomie très riche grâce à son histoire et varie selon les régions (la cote, amazonie, les montagnes..).

Les incas et autres peuples des Andes cultivaient le maïs, la pomme de terre ou bien le manioc, qui sont servent souvent de base aux plats typiques. Avant l’arrivée des colons espagnols, il n’y avait pas de vaches, de moutons ou bien de chevaux mais ils mangeaient du lama, de l’alpaga ou bien du cochon d’Inde. L’arrivée des Espagnols bouleversa le mode de vie des peuples indigènes, la nourriture en fait partie. En plus des Espagnols, un certain nombre d’autres nationalités immigrèrent au Pérou ce qui provoqua un autre bouleversement gastronomique et donna naissance a une cuisine “fusion”. Les Japonais et Chinois sont assez nombreux au Pérou (surtout à Lima). Ainsi ce melting-pot humain engendra une très grande diversité dans la cuisine que nous pouvons trouver au Pérou.

Au cours de ces 15 jours nous avons essayé de gouter à tous les plats dans la mesure du possible: niveau d’hygiène correct, légumes cuits etc . Nous avons mangé au marché, dans les bouibouis de rue ou bien dans des restaurants.

Nous avons déjeuné dans des petits restaurants locaux ou il n’y a qu’un seul menu. Tous les repas commencent ici par une soupe (quinoa, poulet ou légumes dans un bouillon), puis un plat principal à base de riz ou de pommes de terres ou patate douce avec lequel vous avez du poisson ou de la viande. C’est pas cher du tout et plutôt bon, en général cela va couter dans les 7 soles (2,5$). Les desserts sont rarement au menu, ils sont souvent très sucres et a base de caramel. Durant les fêtes du mois d’Octobre, ils mangent apparemment beaucoup de turion “péruvien” mais nous n’avons pas pu gouter.

Au marché vous trouvez bien entendu une multitude de fruits et légumes mais aussi de petits restaurants ou vous déjeunez au comptoir. Il n’y a que des locaux… et nous. Nous avons pu manger des ceviches (poisson cru dans une sauce citron vert avec des oignons crus, servi traditionnellement avec un épi de mais et des patates douces, trop BON!!), ou bien des soupes de pâtes avec poulet et légumes. Les prix sont imbattables, vous pouvez manger pour 5/10 soles (1.5$/3$) et en plus c’est vraiment bon.

Nous avons continué à déguster les fameuses brochettes que vous trouvez dans la rue, elles sont différentes de celles que nous mangions au Costa Rica mais tout aussi bonnes! Elles coutaient seulement 2 soles (0.75$) donc Alexis en a fait une petite razzia…

Des que vous faites un restaurant touristiques les prix flambent significativement et c’est loin d’être bon à chaque fois , mais nous avons pu essayé les plats typiques incas, alpaga et ses petits légumes sauce au vin c’était bon mais nous avons trouvé que cette viande n’avait pas beaucoup d’intérêt ; le “papa la huancaina” pomme de terre avec une sauce aux épices cela ressemble aux patatas fritas que l’on peut trouver en Espagne ; le “caucau” plat à base de tripes avec des légumes nous n’avons pas pu le gouter en raison de la fragilité de nos estomac à cette période ; le “aji de gallina” morceau de poulet avec une sauce au lait et épices c’est tres bon ; le “escabeche de pescado” poisson avec une sauce aux oignons, citron et ail, c’est vraiment très bon surtout avec beaucoup d’ail! Sinon il y’a le “tamales” c’est une pâte de maïs avec de la viande le tout enrobé dans une feuille de bananier, c’est étrange mais pas mauvais. Nous n’avons pas encore gouté le cochon d’Inde mais nous essayerons en Bolivie. Les prix varient entre 40-60 soles le plat, ce qui est un considéré comme un met très fin et est surtout servi dans la vallée sacree.

Nous avons pu manger des guacamoles à tomber par terre (maybe the best guacamole ever), les avocats sont très crémeux avec un gout très léger, en fait nous avons mangé beaucoup d’avocats!!

Au lac Titikaka, nous avons gouté la truite qui est le plat typique du coin, nous l’avons pris en ceviche et cuite au four. C’était vraiment trop bon, un de nos meilleurs plats au Pérou.

Un bon repas ne serait pas complètement appréciable sans une boisson. Le cocktail typique du pays est le Pisco Sour, le pisco est un brandi de raisin, ils mélangent cet alcool avec des citron vert et du blanc d’oeuf, nous en avons (beaucoup) bu… le prix de ce cocktail varie entre 10 et 15 soles (3/5$). L’autre boisson typique est le Inca Cola, c’est jaune fluo et cela à le gout de bonbon mais c’est plutôt sympa comme découverte. Il y a bien entendu quelques bières locales qui sont très légères et plutôt bonnes, nous pouvons citer la Cusquena (blond legere) ou la Trujillo (un peu plus forte), elles coutent entre 3 et 6 soles dans les bars. Nous avons pu boire une multitude de jus frais qui coutent seulement quelques soles, ils sont vraiment très bons et nous en avons consommé une certaine quantité!!! La plupart des hôtels et restaurants vous proposent du maté de coca, c’est une infusion avec des feuilles de coca. Il parait que c’est bon pour le mal de l’altitude et les maux de ventre. Nous avons aussi entendu que si vous en buvez trop vous pouvez être positif à la cocaïne, nous avons des doutes la dessus!

Nous avons été un peu obligé de manger des pâtes et pizzas à certains moments de ce séjour en raison du choix très limité de restaurants dans les endroits tres touristiques. Il semblerait que le touriste landa ne change pas trop ses habitudes en voyage. C’est en général pas trop mauvais mais ils doivent encore faire des efforts pour les pates. C’est étonnant car tous les restaurants proposant des pizzas ont leur propre four du coup elles sont au moins cuite au feu de bois!

Nous avons mangé quelques desserts comme des churros fourrés au dulce de leche une sorte de caramel de lait, c’est très bon mais un peu gras, sinon un mille feuille avec confiture d’ananas et du dulce de lèche, un délice ou bien des tartes aux citrons à vous faire saliver d’avance. Les desserts sont rarement au menu, ils sont souvent très sucres et a base de caramel. Durant les fêtes du mois d’Octobre, ils mangent apparemment beaucoup de turion “péruvien” mais nous n’avons pas pu gouter.

Gastronomie Costa Rica

Alex&Alice — Wed, 29 Oct 2014 20:38:58 +0000

Vous vous demandiez si un jour vous auriez un article sur la gastronomie et bien c’est chose faite!!! La découverte d’un pays passe forcement par ses plats typiques et boissons locales, nous n’avons pas déroge à cela et nous avons essaye de gouter tous les plats que nous pouvions trouver. C’est aussi le but de notre tour du monde, découvrir une autre cuisine que le foie gras ou les purées à la truffe… On nous avait dit que la nourriture au Costa Rica n’était pas forcement exceptionnelle du coup nous n’avions pas une tres grande attente niveau culinaire pour ce pays. Et bien c’était plutôt bon.

Le plat typique du pays s’appelle le casado, c’est un plat à base riz et de haricots noirs. Il y a une viande ou poisson au choix: poulet, porc, boeuf et poisson. La plupart du temps il y a une petite salade avec une sauce citron et des bananes planteurs. C’est vraiment très copieux voir un lourd parfois quand il fait chaud et que vous devez marcher dans la jungle après. Les Ticos mangent ce plat matin (légère variation), midi et soir. Le casado coute environ 3,000 Colones ce qui fait un peu moins de 6$. Pour le petit déjeuner ils mangent un gallo pinto, c’est un casado mais à la place de la viande il y a des oeufs (brouilles ou fries), encore une fois très copieux. Ce plat coute envrion 2,000 Colones ou 4$.

Selon les régions, les casados et plats lacaux vont varies légèrement. Sur la cote caraïbe, les viandes et poissons seront prépares a la façon “caraibenne”, a base de sauce a la noix de coco, mangue, epices… alors que sur la cote pacifique et dans le centre, les accompagnements vont être davantage a base de salsa, ail, oignon.

La cuisine mexicaine est tres présente dans ce pays donc vous pouvez trouver dans la plupart des restaurants ou soda (restaurant local) des tacos, faijitas ou quesadias. C’est tres simple mais plutôt bon. Nous avons mangé des fajitas de folies à Monteverde dans un boui-boui sans prétention. En fait il ne faut pas du tout se filler à l’apparence des restaurants, en gros plus c’est simple meilleur c’est!!

La culture nord américaine est très présente au Costa Rica, ainsi vous trouverez dans beaucoup de restaurants de burgers ou nachos. Nous les avons goute et c’est pas mal mais beaucoup moins bon que le burger de bison!! Les chaines de fast food sont un peu partout, du coup vous pouvez mangé chez Burger King, KFC ou MacDo si vous le voulez.

Nous avons essaye les pâtes, les sandwichs ou bien les salades et c’est pas terrible la plupart du temps. En fait quand c’est pas très local c’est pas très bon mais cela fait du bien de changer car 15 jours de casados midi et soir c’est un peu lassant à la fin.

Il y a bien entendu pleins de bouiboui sur le bord de la route, ils font la plupart du temps des brochettes ou des fruits frais. Nous avons donc mangé régulièrement des brochettes parfois assez douteuses mais tellement bonnes! Ils mettent une sauce avec des “secrets ingredients” qui rendent la brochette divine, enfin ces ingrédients ne sont pas vraiment un secret c’est juste que nous avons rien compris car ils parlent que espagnol et nous pas vraiment (Alexis était le guide linguistique du groupe, 7 ans d’espagnol mais pas beaucoup de reste). Les meilleurs brochettes du Costa Rica se trouvent à Playa del Coco. Les brochettes coutent 1,000 Colones ou 2$. Il en faut au moins 2 pour être rassasié.

Les stands de fruits frais se trouvent sur le bord de la route, sur les plages ou bien à l’entrée des parcs, vous pouvez acheter des noix de coco encore verte pour boire le lait et manger la chair qui sera bien moins dur que les celles matures, c’est vraiment une tuerie et tellement rafraichissant. Les ananas, papayes, bananes ou avocats sont vraiment très bons, ils sont murs juste comme il faut. Nous avons fait la découverte des litchis et fruits de la passion du coin, c’est assez diffèrent sur la forme de ceux que nous connaissons en Europe mais le gout est presque identique, nous en avons beaucoup mange pendant notre séjour.

La découverte d’un pays ne serait pas complète sans la dégustation des breuvages locaux. Les 2 bières locales sont la Imperial et la Pilsen, bière assez légère qui se rapprocherait de la Heineken. Nous en buvions régulièrement car c’est très rafraichissante. Elles coutent environ 1,000 Colones (2$) la bouteille de 375ml. Nous avons aussi eu l’occasion de gouter au cocktails mais il n’y a pas vraiment de différence en dehors du prix avec ceux que vous pouvez trouver en Europe.

Il faut faire attention quand vous choisissez un restaurant car ils peuvent être un peu escrocs et alignent les prix sur les tarifs américains ou européen. Ainsi , il n’est pas rare de voir des plats à plus de 15$ ce qui est un peu du vol selon notre avis. Le service et les taxes ne sont pas toujours inclus dans le prix il faut donc parfois rajouter 23% (10% pour le service et 13% pour la TVA) au prix des plats, c’est aussi un peu une arnaque car ils vous aguichent avec des prix corrects pour au final vous saigner!

De maniere generale, les plats ne sont pas tres varies, mais bien prépares et copieux dans la plupart des cas.